dimanche 26 avril 2015

Le mensonge universel

Quelques citations


sur le mensonge.


                          


- Il y a trois sortes de mensonges : les mensonges, les sacrés mensonges et les statistiques.
Mark Twain (Autobiographie)

- Feindre de croire un mensonge est un mensonge exquis.
Maurice Chapalan (D'amours, amour)


- Les avantages du moment sont d'un moment, et ceux de la vérité sont éternels, mais les suites fâcheuses de la vérité, quand elle en a, passent vite, et celles du mensonge ne finissent qu'avec lui.
Denis Diderot (Le rêve d'Alembert)


- Il y a une différence entre la fiction et le mensonge. La fiction est là pour elle-même, elle ne sert à rien, alors que le mensonge sert toujours à quelqu'un.
Micheline La France (Le talent d'Achille)

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Quelques citations sur le mensonge.

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La vie est comme arc en ciel. Il faut de la pluie et du soleil pour en voir les couleurs.

Jules Renard

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                          Un bon sceptique DOUTE Mais SANS A PRIORI
                                                         Observez 
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                   Le mensonge universel
Le, ou plutôt, les responsables de cet holocauste intellectuel sont :
1 ) le scribe J., ou les scribes qui ont dépouillé le texte sumérien pour composer le leur, et qui va devenir a) le socle sur lequel s’établiront tous les autres, et b) le seul à expliquer les origines de l’humanité pendant 1900 ans à 60% de la population mondiale.
2 ) saint Paul qui va se servir de J. dans ses lettres et épîtres pour répandre au nom du Christ le mépris du corps et l’inutilité des femmes ( le Christ n’avait jamais rien dit de tel ).
3 ) Tertullien, « père de l’Église » qui va utiliser les écrits de saint Paul pour condamner le remariage ( obligation de célibat ) et tenter d’obliger les femmes à porter un voile.
4 ) saint Augustin, qui va expliquer que le péché originel est la répétition systématique de la faute initiale, ce qui va culpabiliser la nudité et condamner l’acte charnel. Sa célèbre phrase à l’intention des seuls hommes : « Qui a une femme se détourne de Dieu » en dit long, et signifie que la femme, elle, ne représente rien pour Dieu puisque avec ou sans mari, elle est de toute manière irrécupérable. Pour tous ces braves gens, la femme est le diable en personne.
5 ) les prêtres ( toutes religions confondues ) qui vont amplifier le rejet de la nudité, de la sexualité et de la femme, en faisant lire chaque semaine que Dieu fait, un extrait des écrits misogynes de saint Paul, et ce depuis plus de 1400 ans.
Le livre peut être commandé sur www.lejardindeslivres.com
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Le mensonge universel n’est pas celui qu’on croit ! Si il y...
NEOTROUVE.COM


Pour ceux qui veulent plus de détails :

Comparaison du texte mésopotamien "Enki & Nîn.Khursag", daté de 2.400 avant notre ère, au texte biblique hautement déformateur de l'écrit original.
Vous aurez relevé l'histoire du Serpent dans le Jardin d'Eden qui n'est autre que Enki, devenu Satan pour les Chrétiens, cela grâce aux scribes des ISRIARS devenus des Israélites, plagieurs des chroniques originales, pour qui LE SHAITAN est l'adversaire, l'opposant. Donc pour la religion judéo-chrétienne, le seul légitime a été tr...
Lire la suite


1 h · 
copie de l' album de mon cher AMI PHILIPPE JEAN CHRISTIAN PIGOT
qu 'il en soit ici vivement remercié
<< Le rire tue la peur et sans peur il ne peut y avoir de foi. Celui qui n'a pas peur du Diable n'a plus besoin de Dieu.>> "Le Nom de la Rose", d'Umberto Eco.
Fusion en UN de deux précédents albums commentés, effacés en décembre 2012...
1) La Genèse biblique, honteux plagiat des archives mésopotamiennes.
2) L'invention des religions, la 1ère plaie du mondehttp://secretebase.free.fr/religions/invention/invention.htm
Avant-Propos : << Vous connaîtrez la Vérité, et la Vérité vous rendra libre...>> Yohan de Got "le Jeune" alias Jean l'Évangéliste, VIII-32
<< Les religions ne sont pas du doigt de Dieu mais de la main de l'homme.>> Puissions-nous enfin ouvrir les yeux sur plus de vingt siècles de manipulations de l'esprit ! Que les masques tombent !
En Vérité, il nous est occulté depuis plus de vingt siècles la présence du véritable Divin dans l'Univers, ce que nous appellons improprement "Dieu".
Parties d'un Tout Incommensurable, KI, notre planète (URAS, URANTIA, GAIA) improprement nommée "la Terre", tout comme notre Soleil en ce Système reproduisant l'ATOME DE SEL, sont des "organismes vivants" dotés de CONSCIENCE qui subissent des cycles qui leurs sont propres.
Des cycles qui affectent notre qualité de vie et influent sur notre évolution, nous humains. Le Grand Cycle Cosmique de 52.000 ans est composé de 2 fois 26.000 années soit les 2 années cosmiques platoniciennes règlant l'évolution du destin collectif de l'humanité - transformateur/rénovateur des civilisations terrestres : étapes Solaires de la Lumière Spirituelle élevant la Conscience Humaine.
Ces périodes de 26.000 ans se divisent elles-mêmes en sous-cycles. L'un d'eux possède une fréquence de 396 ans, et tous les 13 cycles de 396 ans, notre planète entre dans un cycle plus sévère de conséquences. Ces 13 périodes de 396 années donnent un total de ~5.126 ans. La quasi-totalité des grandes périodes de la Terre et des sociétés humaines s’harmonisent avec ce cycle. Les calendriers Maya confirment ce cycle destructeur dont nous vivons les prémices.
Les Grands Anciens savaient encore que "LES DIEUX" ne sont autres que les Consciences des Astres de l'Univers. Car TOUT est VIE, ce qui est en haut comme ce qui est en bas, du plus incommensurable au plus infime. Alors rétablissons la Vérité en sa simplicité : La Vierge Marie = La Déesse Mère = Alma Mater = la Pistis Sophia =L'Âme-Mère = Urantia-Gaïa = La Terre ! VOIR http://www.dailymotion.com/…/xageml_le-secret-de-gaia-alan-…
SUMER : la cosmologie des Sumériens est plagiée dans la bible, ce détournement fait à la civilisation sumérienne est capital. La Genèse n'est que la transcription édulcorée de la Création du Monde de la cosmogonie sumérienne. L'épopée de Gilgamesh conte la quête de l'immortalité. Ce texte nous est parvenu à travers des copies datant de 2.000 avant notre ère. Le plus célèbre des personnages, héros et dieux, se nomme Gilgamesh, roi d' Uruk peu après 3.000 avant notre ère. C'est l'un des premiers Rois d'après le Déluge. Le Noé biblique et l'Héraklès grec sont largement inspirés de cette histoire. C'est de l'Ararat arménien et d’Ur en Chaldée que les premiers Ébros Boréens (véritables Hébreux), tout d'abord resdescendus des hauteurs salvatrices des hauts plateaux du Tibet, ont émigré vers l'Ouest dans les vallées fertiles du Nil et de la Mésopotamie.
Ces traditions se retrouvent dans l'antique religion mazdéenne qui, comme le culte de MITHRA (mithriacisme perse) ou le zervaisme, s'était développée en Cappadoce. Il en résulte que l'Ancien Testament est une copie édulcorée des textes mésopotamiens, langue n'appartenant pas à la famille sémitique. Aujourd'hui, les savants, érudits, et les chercheurs de vérité en sont intimement convaincus.
Ainsi l'on sait que la légende d'un Sauveur/Rédempteur existait en Assyrie 2.000 ans avant l'ère chrétienne sur le plan des initiations mystiques. Mardruh, fils d’Ea, s'immole pour le bien des hommes, imitant un prédécesseur, En-Cil, fils d'Anu, le Père Céleste. Tammuz se sacrifie pour que, de son sang, naissent des êtres susceptibles de vivre dans la Lumière, ressuscitant cycliquement chaque année après la saison froide pour assurer la vie du monde. Certains textes anciens le qualifient de Charpentier (Namgain). Il passait pour avoir été délégué par son Père Solaire dont il était l'hypostase et partageait sa science, afin de soulager les maux de l'humanité, apportant le salut aux victimes des misères inhérentes à leur race. Le mot "Paradis" est d'origine iranienne, les milices d'anges et de démons se retrouvent dans la religion iranienne. De même la notion de Ciel et d'Enfer provient du dualisme Bien et Mal de Zoroastre, prophète du Mazdéisme, qui annonçait la Fin du Monde, le Jugement dernier, la Résurrection générale, les saints immortels (Amschaspands). La religion sumérienne évolua jusqu'au Mazdéisme de Zoroastre, un mouvement philosophique prit son essor dans la péninsule hindoustanienne. La religion des Hindous avait d'abord été comme chez tous les primitifs, l'hommage rendu aux Forces de la Nature d'où étaient nées la Trini-Unité : adoration du Soleil, des Astres, de la Lune. Ce fut ensuite le culte d'Agni, Indra, Soma, respectivement Feu, Eau, Atmosphère (Air), Trini-unité d'où surgit : - la triade hindoue : Brahmâ, Shiva, Vishnou - la triade égyptienne : Osiris, Isis, Horus - la triade phénicienne : Bâal, Astarté, Molooh - la trinité chrétienne (des millénaires plus tard) : Père, Fils, (Saint) Esprit.
Ces religions dérivées des trois forces de l'Univers, causes premières de la vie terrestre, furent complétées par diverses variantes de forme ou de conception. Si on fait exception du Polythéisme, et du Monothéisme hébraïque de Jéhovah, ou islamique d'Allah, il résulte qu'il n'y eut, en réalité, qu'une seule religion dérivée des trois forces, causes premières de la vie terrestre : Amour, Volonté, Intelligence.
LE DÉLUGE : parlons de l'Atlantide, riche civilisation bâtisseuse des monuments cyclopéens disséminés dans le monde entier et construit à l'aide de techniques si avancées sur leurs temps qu'elles défient encore aujourd'hui toute explication rationnelle. C'est le cas des temples d'Amérique Latine attribués aux civilisations aztèque, olmèque, toltèque ou maya, mais dont l'édification a exigé des moyens et une science sans aucun rapport avec ceux de leur époque. Ce sont aussi les pyramides d'Égypte, mais aussi de Chine. Et ne parlons pas des phénoménales structures englouties sous les océans...
Lors de la fin du cycle précédent, les Atlantes furent dirigés par Antinéa, reine terrible dont le souvenir persiste en notre mythologie quand l'on évoque les Amazones. La civilisation Atlante ayant atteint son apogée, ce magnifique peuple devenus hélas des conquérants arrogants, fut donc anéantie, noyée sous les eaux lors d'une effroyable guerre nucléaire qui causa une série de cataclysmes terminée par un Déluge dévastateur. L'élites atlante se mit à l'abri en des bases souterraines, tandis que les plus chanceux parmi la populace survécurent sur les hauts plateaux et les montagnes, puis ils se dispersèrent à nouveau sur la Terre.
Intéressez-vous aux différences entre le Noé biblique, qui n'est qu'un homme au service de Dieu, et le Ziusudra sumérien (Utnapishtim en Akkadie et Atrahasis en Babylonie) qui est ici déifié, atteignant finalement l'immortalité ! Le récit sumérien apparaît ainsi bien plus fantastique et énigmatique que dans la Bible qui l'adapta au monothéisme. Voici un exemple typique d'une réinterprétation biblique d'un récit sumérien, celui du déluge et de l'après-déluge.
Les récits gravés dans les tablettes se recoupent avec les textes bibliques tel que Shinar, mentionné lors de l’épisode de la tour de Babel : Enki a trouvé la solution au problème de main d’œuvre pour extraire les ressources de la Terre, une créature capable d’effectuer le même travail que les colonisateurs fut donc créée. En argile le Dieu et l'homme seront liés, en une unité rassemblée. Ainsi jusqu’à la fin des temps la chair et l’âme qui dans un Dieu ont mûri. On retrouve un terme similaire dans la Genèse biblique: " 2.7 L'Éternel Dieu forma l'homme de la poussière de la terre ".
Ainsi, après avoir créé les hommes, les "dieux", c'est-à-dire les Archontes du Système Solaire, entreprirent à plusieurs reprises d'anéantir l'humanité. Les hommes s'étaient en effet multipliés à un tel point qu'ils en vinrent à faire trop de bruit, gênant ainsi les dieux. Namtar, dieu de la mort et de la peste, fut, par exemple, chargé de déchaîner une maladie sur les hommes. Mais un autre dieu, Enki, eut pitié d'eux et déjoua ce plan. D'autres calamités furent ainsi décidés, mais, à chaque fois, Enki aida les hommes. Enki se vit donc accuser par les autres dieux, c'est alors que ce dernier, pour se défendre, amena l'idée d'un déluge. Enlil, sur l'idée d'Enki, décida que toute l'humanité devrait périr noyée. Mais, Enki parla à Ziusudra (le Noé sumérien) dans un rêve et l'avertit que l'humanité était en danger. Il lui dit de construire un bateau. Sur ce, Ziusudra informa les autres hommes. Il quitta ensuite la ville, prenant avec lui des artisans qui l'aideraient dans la construction du bateau. Ils assemblèrent donc le matériel, construisirent le bateau, puis embarquèrent des oiseaux, du bétail et des humains de la famille de Ziusudra. La pluie commença à tomber, pendant 7 jours et 7 nuits les vents soufflèrent et l'eau se déchaîna. Enfin, la tempête se calma. Ziusudra sortit du bateau et fit des offrandes à tous les dieux, qui avaient faim. Ils s'étaient attroupés autour des offrandes comme des mouches. Les dieux constatèrent que les hommes avaient survécu au déluge. Enlil était furieux. Les dieux avaient juré par serment la perte des humains, et, pourtant, ils avaient survécu. "comment cela était-ce possible ?", demanda Enlil. An lui répondit que cela ne pouvait être que le fait d'Enki. Enki pour apaiser la fureur d'Enlil suggéra une solution : les humains ne se multiplieraient plus si vite. Les maladies en décimeraient un tiers. Les accouchements deviendraient douloureux et dangereux, les enfants pourraient d'ailleurs mourir pendant l'opération. "Six jours et sept nuits passèrent; Les tempêtes du déluge soufflaient encore; Les tempêtes du sud couvraient le pays. Le septième jour; Les tempêtes du déluge; Qui telles une armée; Avaient tout massacré sur leur passage; Diminuèrent d'intensité; La mer se calma; Le vent s'apaisa; La clameur du déluge se tut." (L'Epopée de Gilgamesh, traduction d'A. Azrié).
Version Gréco-Latine : d'après le poète latin Ovide, le Déluge eut pour cause le fait que les hommes oubliaient de sacrifier aux dieux. Leurs uniques pensées étaient pour l'argent et le plaisir. Pour les punir, Zeus décida donc de les anéantir. Le déluge détruisit alors tout ce qui se trouvait sur la Terre, noyant les hommes, les villes et les forêts. Tous les hommes moururent, hormis un couple qui avait construit une barque. C'était Deucalion et sa femme Pyrrha. Au bout de plusieurs jours, la pluie cessa et la barque s'arrêta au sommet de Parnasse. Lorsque Zeus aperçut les deux survivants , il décida de leur laisser la vie sauve pour qu'ils puissent régénérer le genre humain. Ils devraient jeter des pierres derrière eux, qui aboutiraient à des hommes et à des femmes.
Version Biblique : d'après la Bible, le Déluge fut l'inondation universelle dont les seuls survivants furent Noé et sa famille. Dieu avait ordonné à celui-ci de construire une arche (du latin arca, boîte), pour qu'il sauve sa famille et des couples de tous les animaux en les gardant avec lui à l'abri à bord de l'arche jusqu'à ce que les eaux retrouvent leur niveau normal. Au Moyen-Âge, la nef des églises a souvent été comparée à l'arche de Noé, parce que c'était là que les hommes marqués par le péché étaient préservés de la ruine.
Version Indienne : les versions indiennes du Déluge sont nombreuses, celle du Catapatha Brâhmana narre que le Noé indien se nomme Manou et qu'il est lui aussi prévenu du Déluge, mais par un poisson providentiel : " Un matin, on apporta à Manou de l'eau pour se laver, comme à présent on en apporte pour se laver les mains. Tandis qu'il se lavait ainsi, un poisson lui vint dans les mains. Le poisson lui adressa la parole : " Garde-moi, je te sauverai ! -De quoi me sauveras-tu ? - Un déluge va emporter toutes les créatures. C'est de cela que je te sauverai. " (Anthologie sanskrite, traduction de L. Renou).
Version Coranique : le Coran parle du Déluge et de Noé en ces termes : « Et il fut révélé à Noé : 'De ton peuple, il n'y aura plus de croyants que ceux qui ont déjà cru. Ne t'afflige pas de ce qu'ils faisaient. Et construis l'arche sous Nos yeux et d'après Notre révélation. Et ne M'interpelle plus au sujet des injustes, car ils vont être noyés'. Et il construisait l'arche. Et chaque fois que des notables de son peuple passaient près de lui, ils se moquaient de lui. Il dit: 'Si vous vous moquez de nous, eh bien, nous nous moquerons de vous, comme vous vous moquez (de nous)'. Et vous saurez bientôt à qui viendra un châtiment qui l'humiliera, et sur qui s'abattra un châtiment durable!" Puis, lorsque Notre commandement vint et que le four se mit à bouillonner (d'eau), Nous dîmes: 'Charge (dans l'arche) un couple de chaque espèce ainsi que ta famille - sauf ceux contre qui le décret est déjà prononcé - et ceux qui croient'. Or, ceux qui avaient cru avec lui étaient peu nombreux. Et il dit: "Montez dedans. Que sa course et son mouillage soient au nom d'Allah. Certes mon Seigneur est Pardonneur et Miséricordieux". Et elle vogua en les emportant au milieu des vagues comme des montagnes. Et Noé appela son fils, qui restait en un lieu écarté (non loin de l'arche): "Ô mon enfant, monte avec nous et ne reste pas avec les mécréants". Il répondit: "Je vais me réfugier vers un mont qui me protègera de l'eau". Et Noé lui dit: "Il n'y a aujourd'hui aucun protecteur contre l'ordre d'Allah. (Tous périront) sauf celui à qui Il fait miséricorde". Et les vagues s'interposèrent entre les deux, et le fils fut alors du nombre des noyés. Et il fut dit: "Ô terre, absorbe ton eau! Et toi, ciel, cesse (de pleuvoir)!" L'eau baissa, l'ordre fut exécuté et l'arche s'installa sur le Joûdî, et il fut dit: "Que disparaissent les gens pervers"!» (Coran, XI:36-44)
EXOTÉRISME & ÉSOTÉRISME : la Gnose Chrétienne renvoie à l’existence d’un ésotérisme chrétien présent dans l’Église primitive et pourtant nié de tous temps par l’Église judéo-romano-babylonienne de Pierre. Saint Clément affirmant: « le Seigneur nous a permis de communiquer les mystères divins à ceux capables de les recevoir, les choses secrètes se confient oralement, et non par écrit et Dieu fait de même, les symboles sont divulgués sous une forme mystique mais cette transmission sera faite moins par les mots que par leur sens caché ». Dans l’Évangile de Marc: « À vous disciples choisis, il est donné de connaître les mystères du Royaume de Dieu mais à la multitude, ces choses sont dites en paraboles afin qu’ils voient et n’entendent pas, qu’ils écoutent et ne comprennent pas ». Par cet élitisme, on peut imaginer qu’un enseignement assorti de rites spécifiques qui déconcertèrent tant de non-initiés, était délivré à tous ceux qui constituaient l’Ordre Intérieur Templier. Il est aussi attesté par le fait que jusqu’au IVè siècle, le cheminement qui devait mener le catéchumène à l’entendement des doctrines et des rites chrétiens passait à un moment déterminé par l’étape de l’Arcane. Ce n’est qu’ultérieurement que deux voies se dessinèrent :
- La voie exotérique incarnée par l’Église de Pierre qui en tant qu’Église Universelle « catholicos » fut fondée sur le dogme (croyance dévotionnelle et formelle).
- La voie ésotérique représentée par l’Église de Jean, basée sur la Connaissance (GNOSIS) de l’initié, ne se dévoilant que progressivement à travers la pratique rituélique des saints mystères et dont l’Ordre Templier fut la remanifestation entre 1118 et 1314.
Selon la Tradition, le Pontificat de Pierre prendra fin avec le retour du glorieux Pontificat de Jean qui rétablira à jamais la Tradition Primordiale et le Secret. L’Ordre Templier œuvrèrent pleinement à l’avènement de ce second pontificat. En fait il a bel et bien existé pendant plusieurs siècles en Orient comme en Occident une Église officielle de Jean. Gardien du saint Graal, Jean incarne toute la puissance de la Tradition Originelle et Éternelle qui s’exprime intensément dans la Révélation Christique car contrairement à la pensée émotionnelle de Pierre, celle de Jean privilégie l’Esprit, le Verbe, le Logos, c’est à dire toute cette Énergie Secrète de l’Univers assimilée au CHRIST SOLAIRE victorieux, porteur de Lumière et de Vie. Le Temple avait ainsi symboliquement compris que les deux Jean à l’image du Janus latin ne sont rien d’autre que les pôles de l’initiation aux mystères, Jean le Baptiste se confondant en ce « vieil homme » qui doit mourir par la descente aux enfers au profit du « nouvel homme » incarné par Jean l’Évangéliste. La Nouvelle Naissance permettant dès lors d’ouvrir les Portes du Ciel donnant accès aux réalités premières. Conformément à la doctrine de Jean, il est dit que Charité et Amour concernent tous les hommes une fois reconstitués les liens de l’Unité Première (l’Androgynie Originelle) par la réactivation d’un centre dépositaire de la Sagesse Primordiale.
Malheureusement, force est de constater que le plagiat, les dissimulations, et le mensonge persistent dans toutes les grandes religions et sociétés dites "initiatiques" (Christianisme, Judaisme, Islam, Franc-Maçonnerie, Kabbale, etc...), l'Ordre Noir des Fils de Brutus étant parvenu à tout infiltrer et à tout corrompre, en la logique de cette fin du Kali Yuga. QUE LA JUSTICE DIVINE S'ACCOMPLISSE DONC DESORMAIS ICI ET MAINTENANT !
LA KABBALE ET LA BIBLE : un but très important de la KABBALE est de retrouver le sens de la Genèse. Celle-ci a en effet, été déformée à travers les différentes traductions rendues nécessaires par les migrations de populations, les mélanges de races qui en ont résultés et en dernier lieu, par la traduction latine du texte grec, utilisée par l'Eglise catholique. La KABBALE est l'ensemble des traditions judaïques relatives à l'interprétation mystique de l'Ancien Testament. Il est un des plus anciens systèmes philosophiques occidentaux, mais il est vicié par les conrants de la Contre-Initiation !
La légende dit que MOÏSE a été trouvé dans un berceau sur les bords du Nil. Ceci est très contestable. Ce qui est certain, c'est qu'il a été élevé par une princesse égyptienne de sang royal qui a été sa vraie mère ou sa mère adoptive. Elle l'a élevé comme un égyptien. Il a étudié les sciences égyptiennes, les nombres sacrés et leurs symboles. Théurgie Astrologie et Alchimie étaient enseignées dans les Temples où MOÏSE s'instruisit ; il reçut aussi l'Initiation d'Isis. Les Chaldéens, les Esséniens et les Égyptiens avaient adopté le même rituel initiatique. Leurs signes de reconnaissance étaient le pain et le vin.
•1° degré : communion par le pain : mystères de la vie terrestre.
•2° degré : communion par le vin : mystères spirituels de la science divine.
•3° degré : communion par la coupe : Rédemption réservée aux prophètes et aux initiés.
Moïse, alias Akhnénaton le Mosès, pratiquait l'idiome égyptien employé sous les deux formes littéraire et hiéroglyphique. Chaque lettre ou caractère correspond à un signe ayant un sens donné. Partant de la racine et du signe de chaque lettre ou syllabe, on forme le nom qui produit son et mouvement. La racine hébraïque, arabe, syriaque, chaldéenne et éthiopienne d'un mot exprime la même idée. Le langage qui en était issu était pratiqué dans les Temples d'OSIRIS, il était hermétiquement scellé, idéographiquement écrit et ne pouvait se comprendre sans clef. Les égyptiens se servaient de plusieurs écritures correspondant aux divers degrés des mystères et toutes hiérographiques. Le nom égyptien de MOÏSE était "Hosarsiph". La princesse royale, sa mère, souhaitait que Moïse règne sur l'Égypte ; mais lui sentait que sa mission était autre. Comme scribe, il fut envoyé en inspection dans le Delta où les Isriars (futurs Israélites) étaient esclaves des Égyptiens. Un jour, il vit battre à mort l'un d'eux par un chef, et il tua celui-ci. Il dut s'exiler au-delà de la Mer Rouge pour éviter les rigueurs de la Loi. Il alla au temple de Madion et là, après avoir expié son crime par des pénitences sévères, il comprit que de tout temps, sa mission l'avait prédestiné à devenir le prophète des bannis, le conducteur du peuple du Dieu unique. Il avait conquis dans sa retraite les 7 vertus que l'initié doit posséder pour ouvrir le puits de la vérité appelé "Puits du vivant qui me voit" (symbolique de la Kundalini et des 7 chakras). MOÏSE écrivit la Genèse en hiéroglyphes égyptiens à trois sens pour le même mot propre, figuré, transcendant et se lisant avec une clef que nous retrouvons dans la CABALE (qui n'est pas la Kabbale).
Mais on ne peut déchiffrer cette écriture sans l'intuition, l'analyse et la synthèse. La Genèse, loi du Judaïsme, celle du Dieu unique créateur de l'Univers, fut prétendument "révélée" à MOÏSE sur le mont Sinaï. D'abord orale, elle fut transcrite par MOÏSE qui utilisa la forme transcendante des hiéroglyphes égyptiens. Dans ses écrits, il fait souvent illusion à la déesse ISIS représentée sur les monuments égyptiens comme une femme couronnée tenant d'une main la croix ansée, symbole de la vie éternelle, l'ensemble de la nature terrestre avec sa puissance conceptrice, la nature céleste et invisible, élément propre des âmes et des esprits, lumière spirituelle et intelligible par elle-même qui seule confère l'Initiation. Les religions hindoues utilisent aussi comme symbole initiatique, la fleur de lotus. Moïse fut l'initiateur du Monothéisme, lui qui était initié égyptien, prêtre d' ISIS et d' OSIRIS, et pour qui sait, Pharaon ! Il trouva un terrain favorable chez les Isriars fixés en Egypte, au val de Goschem. Tous les sémites, éternels exilés, étaient issus du mélange des deux anciennes races rouge et noire Atlantéenne et Muvienne.
Certains kabbalistes, les Harodim étaient alchimistes. Pour eux, l'Alchimie est considérée comme un système métaphysique de caractère spéculatif, permettant de passer de la vision opaque à la vision lumineuse. L'alchimie est à la recherche de la source du processus d'évolution, de la transmutation, de l'homme et des métaux. C'est en Orient, au moment des croisades, que les HARODIMS descendants des Patriarches (Abraham initié en Chaldée, Isaac en Égypte, Jacob d'origine phénicienne et initié en Égypte), ont connu les TEMPLIERS. Ceux-ci disaient être les descendants des Jomvikings, association nordique de l'Occident, Goths scandinaves. Ils croyaient à l'oeil frontal (3ème oeil), celui de la clairvoyance. Les HARODIMS traduisent cela par la loi du KARMA. Quand l'homme aura atteint après bien des épreuves sa "libération", qui correspond aux sphères d'évolution supérieure, il n'aura plus besoin de se réincarner, de sortir du sein maternel "dehors". Pour l'alchimiste, l'homme ne peut atteindre l'état de béatitude sans "brûler" ses passions et défauts.
Au VIIè siècle, le prétendu prophète Mahomet apporte son message au monde arabe, message concocté par le Rabbinat, mélangeant la magie et l'alchimie et ajoutant les incantations des versets du Coran, hélas complètement mélangés, l'ouvrage n'est pas fiable.
En Alchimie comme en CABALE, l'emploi des gestes, signes et attouchements rituéliques ont une portée sacrée psychologique et servent de signes de reconnaissance. La vraie philosophie secrète et traditionnelle ne fut écrite que plus tard sous des voiles encore moins transparents. Ainsi naquit une seconde Bible inconnue des chrétiens ou plutôt incomprise par eux. Toutes les vraies religions dogmatiques sont issues de la Ha.Kabala qui est une version de la religion égyptienne, et elles y retournent. Toutes les associations maçonniques lui doivent leurs secrets et leurs symboles, que les frères et soeurs en aient conscience ou pas.
MYTHES ÉGYPTIENS ET SUMÉRIENS : c’est principalement le grec PLUTARQUE qui en décrivit le développement vers 66 a.d., ce qui laisse à penser que les grands mystères étaient, depuis la plus haute antiquité, l’objet de transmissions secrètes car le peu d’informations dont on dispose sur cette légende la fait remonter au moins à un millénaire avant notre ère. "Jésus" le personnage fictif de la Bible (qui n'est pas le Jésus historique) a été inspiré par la religion solaire du Culte de MITHRA, et n'a pas ou peu de points communs avec HORUS, par contre il en a avec son père OSIRIS (Ré-Génération/Résurrection). Le mythe égyptien a ceci de très particulier qu’il propose quelque chose de plus que ce que dévoile une parabole ordinaire, nous nous trouvons ici face aux véritables prémices d’un enseignement sacré. L’intelligence de la légende d’OSIRIS est précisément de développer une certaine notion de l’évolution, voire, de la transmigration des âmes, leur retour au divin, leur reconstitution après le démembrement et leur complète fusion avec le divin. Ce mythe qui formera le fondement des légendes relatives au « dieu qui meurt » et à ses relations avec la plante qui le protège ou le tue, introduit les notions fondamentales du chamanisme au cœur d’une foi immanente. Les Dieux et leurs âmes sont partout. L’inconscient collectif qui les véhicules est à ce point proche de la nature profonde de l’homme que le fondement de la légende ne peut que se transmettre, s’adapter mais pas être oubliée. Il y a peu de textes qui abordent le mythe osirien et cette discrétion le rapproche du mythe d’Hiram dans la mesure où, pour ce dernier, on ne dispose pas non plus d’éléments écrits qui développent les raisons profondes de son l’élaboration. Ausar, Ounophris, Wosiré, Ousir, "le bienveillant" aussi appelé OSIRIS en grec est fils de NOUT et de GEB, c’est à dire, du Ciel et de la Terre. Il règnera vingt huit ans durant lesquels il enseignera aux égyptiens l’art de l’agriculture avant d’être la victime d'un complot organisé par l'organisation secrète des Sethiens, image du désordre, du chaos. Alors qu'il revient victorieux d'une longue campagne de conquêtes, les Sethiens profitent des fêtes organisées à cette occasion pour l'inviter à un banquet. Au cours de la soirée, ils mettent OSIRIS au défi de s’allonger dans un grand coffre. Lorsque ce dernier y fut couché, la légende prétend que SETH (aidé de 72 complices, les 72 génies des demi-décans du zodiaque), referma le lourd couvercle sur lui et le scella avec du plomb fondu. Puis SETH et ses complices portèrent le coffre sur le Nil et le firent descendre jusqu'à la mer. Seulement, qui sait encore aujourd'hui que le grand dieu d'Égypte SETH, était employé à la protection dde la Barque Solaire ? Comment donc croire cette mystification le concernant, d'autant plus si l'on se donne la peine de comprendre S.I.O.N. : Seth + Isis + Osiris + Nephtys !
C'est également la même histoire dans les mythes de Sumer : NIN.ANA/ASHTAR, descendue aux Enfers pour retrouver son Frère-Amant DUMUZI/TAMMUZ, c’est sa Sœur-Épouse, ASeT-ISIS, qui partira à la recherche de son âme afin de le ramener à la Vie. Les deux déesses se seront préalablement coupé les cheveux, elles auront déchiré leurs vêtement, se seront libérées des voiles qui les recouvraient. Là où NÎN.ANA/ASHTAR franchit les portes en abandonnant à chaque fois une part de ses parures afin de descendre plus profondément, ASeT-Isis déchire ses vêtements et parcoure le monde à la recherche du coffre dans lequel "le Bienveillant" a été enfermé. Néanmoins, elle ne ramènera pas OSIRIS par un voyage de retour car ceux qui descendent en ces lieux ne peuvent pas revenir et c’est seulement l’Amour, symbole de la régénération et de la vie éternelle qui permettra de retrouver le corps. Le mythe relate qu'Isis remonta alors sur sa barque de papyrus, bien décidée à retrouver les 14 morceaux du corps de son bien-aimé, à travers le labyrinthe du marais, mais elle n'en retrouva que 13. La seule partie qu'elle ne parvint pas à retrouver, malgré tous ses efforts et malgré l'aide des obligeants crocodiles, fut le membre viril car il avait été mangé par des poissons. Toutefois il avait eu le temps de donner au fleuve sa force fécondante. Durant le voyage d'ISIS aux Enfers, le coffre contenant le corps, entraîné par la mer, atteignit les côtes de Phénicie où il s’échoua aux pied d’un Tamaris ou d'un Sycomore. La quête dura si longtemps que le tronc de l’Arbre recouvrit la boîte contenant le corps d’OSIRIS. Le roi de Byblos, occupé à faire construire son nouveau palais, fit abattre l'arbre afin d’en faire l’une des deux colonnes devant en décorer l’entrée. Isis entendant parler de l’odeur qui s’échappait du tronc alors qu’on le coupait, en comprit aussitôt la signification et se rendit en Phénicie où on lui remit la colonne prodigieuse. Elle ouvrit la colonne de bois et en retira le cercueil de son bien-aimé Époux qu'elle arrosa de ses larmes, thème Magdalénien s'il en est ! Elle le ramèna ensuite en Égypte et le cacha au fonds du marais DELTA afin que SETH ignorât que le corps avait été retrouvé. Mais il découvrit le coffre alors qu'il chassait au clair de Lune, et furieux qu’OSIRIS soit encore entier malgré le temps écoulé, il coupa le corps en 14 morceaux et, de tous côtés, les dispersa à travers le pays. Découvrant cela, ISIS se mettra à la recherche des morceaux. Elle les retrouvera tous à l’exception du sexe, dévoré par un poisson. Isis se résolut donc à fabriquer un phallus artificiel et le consacra. C'est ce phallus dont aujourd'hui encore les Égyptiens célèbrent la fête. Aidé par ANUBIS, THOT et NEPHTYS, elle recomposera le corps démantelé et le momifiera. Ramené à la Vie par ces pratiques et désormais à l'abri de la mort, OSIRIS se retirera dans les mondes souterrains, laissant alors le trône du monde visible à son fils HOR, qui se vengera des SETHIENS et deviendra le modèle des Rois à venir. Nous avons donc ici un dieu Lunaire dont la mise à mort commence au moment de sa décroissance. La Lune meurt au terme de son cycle de 28 levers (dans le cycle de 30 jours d'une Nouvelle Lune à une autre Nouvelle Lune, il y a 28 levers de Lune observables) c'est-à-dire à sa disparition lors de sa conjonction avec le Soleil. Ce nombre 28 est le nombre de jours pendant lesquels la Lune éclaire. Plutarque nous indique clairement: «Les Égyptiens interprètent le dépeçage d'Osiris en 14 morceaux comme un symbole des jours pendant lesquels la Lune décroît après la Pleine Lune jusqu'à la néoménie». Le croissant, symbole du phallus, en Inde et en Mésopotamie, est perdu puisque la Lune a disparu. Mais heureusement, ISIS en fabrique un et dès lors le dieu ressuscite et peut à nouveau être fécond. ISIS a ressuscité Osiris, elle lui a donné une nouvelle naissance, la possibilité de réaliser de nouveau un cycle de vie comme la Lune. ISIS donne ensuite naissance à son fils HOR(us), le Soleil nouveau bienfaisant et non desséchant et la nouvelle pousse. Nous retrouvons là encore tout comme en Mésopotamie le Soleil et la Lune. OSIRIS LUNAIRE devient, tout comme Nergal Sîn des mythes babyloniens, le dieu des enfers et de la mort. À ce titre, il se retrouve au cœur des grandes initiations dont le très mal-nommé LIVRE DES MORTS nous donne un aperçu. Alors, OSIRIS entouré de 42 assesseurs, préside au Jugement des morts. Voilà pourquoi OSIRIS, dieu Lunaire, est parfois noir avec une couronne blanche. Il a le visage sombre de la Lune cendrée qui, en fait, apparaît marron, gris ou vert sombre sur le ciel bleu et il est couronné de la haute couronne blanche, symbole de la Lumière lunaire. On ne peut donc ignorer son assimilation au symbolisme lunaire même si le peuple égyptien donna une supériorité au culte du Soleil dans sa religion.
Cette légende est très proche du mythe d’ HIRAM des francs-maçons qui est une invention pour les loges. OSIRIS, fils du Ciel et de la Terre, enseigne l’agriculture à son peuple, par voies de conséquences, les traditions l’associent aux moissons et c’est la raison pour laquelle il est souvent porteur d’un épi de blé. Cette généalogie et cette attribution lient le Dieu à la fois à ce qui est en haut et à ce qui est en bas par les mystères de la germination. D’autre part, la recherche du corps par sa sœur-épouse ISIS jusqu’aux confins du monde des morts confirme cette attribution et en détermine les contours, de même qu’elle permet de décrire l’environnement des âmes. Ce qui différencie les ténèbres de la clarté est essentiellement indiqué par le fait que ce sont les épouses qui partent à la recherche du défunt. Cette différence de sexe accentue encore l’alternance de l’ombre et de la lumière. Le monde des morts n’est accessible qu’une fois dévêtu. Il s’agit bien de tout laisser à la porte de ce qui peut rappeler le monde visible. Les vêtements, les métaux, ISIS et NÎN.ANA/ASHTAR se présentent comme le maître néophyte qui est introduit dans le Temple après avoir été délivrées des voiles et de ses passions. Tout s’organise comme si du fond de la Terre germait la Lumière. Osiris : Dieu des Ombres au pays des morts Isis : Déesse de la Lumière et de la Sagesse Horus : Dieu enfant du Silence et de la Sagesse L’odeur dégagée par le corps ou par l’objet contenant le corps est l’indice qui précède sa découverte et qu’on le ramène avant qu’il ne soit dépecé et éparpillé. Bien plus, dans ce mythe, l’ACACIA (ce n'est plus un sycomore) contient le corps et continue de le contenir après que l’arbre n’ait été transformé en colonne. On peut penser que cette colonne protégeant Osiris soit à l’origine de la légende de celles qui contenaient le savoir humain, qui furent englouties au large de Gibraltar et que l’on nomme "colonnes de Seth" devenues les colonnes des temps maçonniques. Et puis, sorti de sa "gangue" d’acacia, dépecé et recomposé, c’est avec l’aide de trois autres divinités qu’OSIRIS sera "relevé" et momifié. C’est seulement à l’issue de cette restructuration et de cette préparation à l’éternité qu’ OSIRIS pourra reprendre son voyage. Depuis, le secret de l’ACACIA est le plus grand des secrets. C'est le secret de l'Arbre de Vie, de la réincarnation et la communication avec les "Entités", du Monde Supérieur pour certains, du Bas-Astral pour d'autres...
LE CULTE DU SOLEIL : dès 10.000 ans avant notre ère, l'histoire abonde en gravure et écrits témoignant du respect et de l'adoration des peuples pour le SOLEIL. Alors que chaque matin le Soleil se lève apportant la visibilité, la chaleur et la sécurité, tenant l'homme à l'abri du froid, de l'obscurité, des prédateurs nocturnes. Sans ça, les cultures, y compris les récoltes ne pousseraient pas, et la vie sur la planète serait impossible. Ces réalités font du Soleil l'élément le plus adoré de tous les temps. De la même manière, l'Homme était très sensible aux étoiles : leur repérage lui permettait d'anticiper les évènements s'étendant sur une longue période, tels que les éclipses et les pleines lunes. A tour de rôle il a répertorié les ensembles célestes que nous nommons constellations. La CROIX DU ZODIAQUE est un des plus anciens concepts imagés de l'Histoire de l'Humanité, représentant de manière imagée le passage du Soleil à travers les 12 (mais aussi 88) CONSTELLATIONS principales tout au long de l'année. Il représente aussi les douze mois de l'année, les quatres saisons, les solstices et les équinoxes. Le terme Zodiaque englobe le fait que les constellations étaient personnifiées avec des formes ou des animaux. Autrement dit, les premières civilisations ne se contentaient pas de suivre le Soleil et les Astres. Elles les personnifiaient avec des mythes complexes mettant en scène leurs mouvements et leur relation entre eux. Le Soleil, fort de ses qualités qui donnent la vie et la préserve, symbolisait la représenation du Créateur invisible ou Dieu. Le Soleil de Dieu, la Lumière du Monde, le Sauveur de l'Humanité. De plus les 12 CONSTELLATIONS représentent les lieux de passages du Soleil de Dieu. Elles sont identifiées par des noms, correspondant aux éléments naturels qui sont survenus durant cette période de temps.
Par exemple, le Verseau = " VERSEUR D'EAU " (Aquarius), celui qui apporte les pluies au printemps. Le Dieu égyptien HOR(US) est le Dieu de l'Égypte vers 3.000 ans avant notre ère. Il est l'incarnation de la vie du Soleil racontée dans une série de mythes allégoriques impliquant le déplacement du Soleil dans le Ciel. À partir d'anciens hiéroglyphes égyptiens, nous avons appris beaucoup sur le Messie (Oint) du Logos Solaire. Horus qui signifie Soleil ou Lumière avait un ennemi appelé Seth qui était l'incarnation de la nuit et des ténèbres. De manière métaphorique, chaque matin HORUS gagnait le combat contre Seth. Tandis que le soir, Seth l'emportait sur HORUS et l'envoyait dans les enfers. Ce combat entre l'Ombre et la Lumière, le bien et le mal, constitue une des dualités de la Mythologie la plus omniprésente jamais connue et elle est à ce jour toujours exprimée sous diverses formes. Ce concept de Dieu Solaire a une grande influence sur de nombreuses religions. Certains anciens pensent donc que le "Dieu Soleil" était en fait le Fils de Dieu. Et cela implique également l'idée que «Le Père est glorifié dans Son Fils." En fait, le jour de la semaine, nous avons l'honneur du culte et nous ne travaillons pas le dimanche en l'honneur du dieu soleil païen. Les halos des saints catholiques sont représentatifs du halo du soleil. Les Egyptiens avaient donc également des disques du Soleil, comme les sumériens, qui avait tout à fait la même apparence ...
HORUS ET JÉSUS : le catholicisme romain se révéle être la religion solaire décadente du Culte de Mythra sous un déguisement. Si HORUS est le bien, la lumière et le jour, le Soleil, La théorie de la naissance d'Horus précisément comme l'histoire de la conception miraculeuse de Jésus est fausse. Il faut se remémorer que l'empereur Constantin, fondateur de l'Église "officielle" (catholicisme romain) a essayé de fusionner paganisme (ancien culte) et christianisme (nouveau culte) à son propre profit. Les idoles ont été rebaptisées du nom de saints mais sont restées les mêmes. Idem pour de nombreuses pratiques ou objets de culte. Le solstice d'hiver associé aux culte solaire a été choisi (rien de biblique dans le 25 décembre) pour commémorer Noël (naissance de Jésus-Christ). Le culte solaire païen enveloppé d'une surcouche chrétienne a été imposé partout. Les anciens cultes de la fécondité et de la "reine des Cieux" ont eux aussi été "christianisés". Il faut savoir que le culte de la Vierge n'a absolument aucun fondement biblique. Qu'il y ait des aspects païens dans ce culte est donc absolument vrai. Mais, que je sache, il n'est écrit nulle part qu'Isis ait été vierge ! Des peintures la représentent même, sous forme d'un faucon, planant au dessus du phallus érigé de son mari Osiris lors de la conception d'Horus, ou en femme agenouillée administrant une copieuse fellation à son "mort" de mari. La date du 25 décembre n'a pas de sens dans le calendrier égyptien car celui-ci utilise une "année vague" qui se décale lentement par rapport aux saisons car le système des années bissextiles n'existait pas. Même si on utilise le calendrier agricole théorique, qui commencait avec le lever héliaque de l'étoile Sothis (Sirius) le 19 Juillet, cela ne correspond pas : Il est écrit qu'Horus est né le 31ème jour du mois de Khoiak, ce qui doit correspondre au 16 novembre. De plus nulle part il n'est écrit non plus dans la Bible que Jésus est né un 25 décembre, mais Jésus est né vers la période de Pâques selon les écritures (l'Église romaine changea la date de sa naissance). Les textes égyptiens disent qu'Horus n'est né ni dans une grotte ni dans une crêche mais dans un marais, au milieu des roseaux. On ne retrouve aucun texte égyptien, qui parle de trois sages et d'une étoile lors de la naissance d'Horus. D'ailleurs il n'est écrit nulle part dans la Bible que les "rois-mages" étaient au nombre de trois. Les chrétiens orthodoxes prétendent même qu'ils étaient 12. Le baptème n'existait pas chez les Égyptiens. Et aucun texte égyptien, ne dit donc qu'Horus a été baptisé. Aucun texte égyptien, ne dit qu'Horus avait 12 disciples. On trouve seulement des références à 4 HERU-SHEMSUs ("suivants d'Horus"), à 16 adeptes humains, et à un nombre inconnu de MESNIUs / MESNITUs ("forgerons") qui l'ont suivi dans ses batailles. Le miraculé "EL AZARUS" n'est pas du tout un nom égyptien. Aucun texte égyptien, ne dit qu'Horus a marché sur l'eau. Il est juste dit que lui et Seth se sont transformés en hippopotame et qu'ils sont restés trois moins au fond de l'eau. Aucun texte égyptien, ne dit qu'Horus a été transfiguré sur une montagne. Aucun texte égyptien, ne dit qu'Horus a été enterré dans un tombeau et ressuscité. Il est juste raconté que le dieu Thoth l'a guéri d'une piqûre de scorpion. C'est son père Osiris qui a été ressuscité, par Isis sa soeur avec qui il feront HORUS. Aucun texte égyptien, ne dit qu'Horus s'appelait KRST. C'est en grec et non pas en égyptien que le mot "KRST" (Christ) signifie "oint". En égyptien KRST signifierait plutôt "enterrement".
MITHRA ET JÉSUS: 1.000 avant notre ère, le culte de MITHRA, Dieu-Soleil de Perse bat son plein en Perse. Les prêtres célébraient l'office par le pain et le vin "Celui qui avale ma chair et avale mon sang demeure en moi et je demeure en lui (Zarduhst)". Le prêtre de Mithra plaçait du miel sur la langue de l'adepte. Son culte comprend un repas et un baptême. Les paroles de la Cène sont empruntées à celle des sectateurs de MITHRA. Il est né d'une vierge le 25 décembre, il avait 12 disciples et accomplissait des miracles. À sa mort il fut enterré 3 jours puis ressuscité. On y faisait référence dans les éxpressions comme "la Vérité" , ou encore "la lumière". Le jour sacré ou l'on rendait grâce à MITHRA était le dimanche : - Il est né d'une vierge le 25 décembre. - Il était considéré comme un grand professeur et un maître itinérant. - Il était appelé "le Bon Berger." - Il était considéré comme "la Voie, la Vérité et la Lumière." - Il était encore considéré comme "le Rédempteur," "le Sauveur," "le Messie." - Il était identifié à la fois au Lion et à l'Agneau. - Son jour sacré était le dimanche, le "jour du Seigneur". - Il avait sa fête principale à la date qui allait ensuite devenir Pâques, correspondant à sa résurrection. - Il avait 12 compagnons ou disciples. - Il effectuait des miracles. - Il a été enterré dans un tombeau. - Après trois jours, il s'est relevé. - Sa résurrection était célébrée chaque année. - Sa religion comportait une eucharistie ou "dîner du Seigneur".
LA TRIADE DIVINE (TRI-UNITÉ) : la véritable histoire de la divine trinité JESUS / MARIE / JOSEPH est originaire de Babylone. Les égyptiens transforment le mythe en astro-théologie en construisant les pyramides selon la carte du ciel et en donnant des noms d'étoiles à leurs divinités : HORUS est le SOLEIL, ISIS est SIRIUS et OSIRIS est ORION. Après le déluge, les descendants de NOÉ se sont multipliés et ont bâti la grande ville de Babylone. Sémiramis est devenue la reine de Babylone et a épousé un homme appelé Nimrod. Le jour où NIMROD a été mis à mort, le peuple a pleuré. SÉMIRAMIS a donné naissance à un enfant, TAMMUZ et a déclaré qu'il était la réincarnation de NIMROD. Sémiramis est devenue une déesse dotée de nombreux appellations : Reine du ciel, médiatrice, reine de l'humanité. TAMMUZ devint plus tard BAAL, le dieu Soleil, puis HORUS chez les Égyptiens ...
Lorsque les Babyloniens ont été dispersés dans différentes parties du monde, ils ont apporté avec eux le culte de la Divine Mère et de son fils. En Chine, ce fut le culte de la sainte SHING MOO. En Inde, celui de DEVAKI (la déesse) et de KRISHNA (son fils). À Ephèse, celui de DIANE. En Égypte, ce fut le culte d'ISIS (la déesse mère) et de HORUS (son fils). En Scandinavie, celui de DISA, représentée avec un enfant. En Grèce celui d'APHRODITE, la déesse médiatrice. À ROME, celui de VÉNUS (la déesse mère) et de JUPITER enfant. En Palestine, celui d'ASTARTÉ (la déesse mère) et de BAAL (son fils). La culture judaïque a également su puiser dans tout ce qui l'entourait pour se construire pour créer la THORA. Même le nom si sacré de leur terre promise, Israël, révèle ce processus. Le mot " ISRAËL " lui-même, loin d'être une dénomination juive, est formé de la combinaison de trois mots distincts : IS (Fils) Ra (Lumière) El (Ciel) désignant Celui qui vient, le Messager ou l'Envoyé de la Lumière, capable de reconnaitre au-delà du rideau de lumière. Ce mot apparut différemment dans les papyrus antiques : Saraël ! Mais, puisque Sa - féminin - désignait la Fille, il fut remplacé par Is, de nature androgyne, dans les écrits bibliques de la prêtrise patriarcale. THOT prend la forme d'un babouin pour symboliser sa descente à notre niveau hominal (primate) pour nous enseigner. Parce que pour les dieux nous ne sommes que des "singes parlant".
Selon le mythe, JÉSUS, LE CHRIST, est né de la vierge MARIE un 25 décembre à Béthléem. Sa naissance fut annoncée par une étoile à l'est que 3 Rois étaient censés suivre afin de localiser et décorer le nouveau Sauveur. Enfant il était professeur à l'âge de 12 ans et à 30 ans il fut baptisé par Jean le Baptiste. Ainsi commença son ministère. Jésus eut 12 disciples avec qui il voyagea, il accomplit des miracles tel que guérir les malades, marcher sur l'eau, et ressusciter les morts. Il était également connu sous les noms suivants : "Roi des Rois" , "le Fils de Dieu" , "la Lumière du Monde" , "l'Alpha et l'Oméga" , "l'Agneau de Dieu" , etc. Après que son disciple Judas le trahisse et le vende pour 30 pièces d'argent, il fut crucifié et placé dans une tombe puis 3 jours après il fut ressuscité et fit ascension dans les cieux. La vie de JÉSUS n'est que symbolique, et chaque phase de sa montée est Alchimique. Mais la Promesse est venue par l'Enfant de la grotte. Jésus, par l'Ascension, échappe au plan terrestre tout en montrant son devenir et sa réalité à l'Homme, mais l'Enfant de la grotte a pu être adoré par les bergers, c'est-à-dire par les élus qui ont conscience que le troupeau doit être ramené au Père Céleste.
Toute l'oeuvre de Jésus n'a de sens que si l'on comprend que cette Flamme, cette Pierre Philosophale venue sur la Terre prend le corps d'Adam, le corps de la chute ainsi qu'une âme terrestre, qu'il voile l'or éblouissant dont il est constitué et montre à l'humanité, par symbole, l'épopée du corps adamique, séparé du Créateur, pour retrouver son corps d'éternité, qui est le corps unique et céleste de tout le Créé. Le corps de Xrist porte et baigne tout l'Univers. Par la création de la multiplicité, le Créé connaît la dualité, la séparation du contenant et du contenu. Toute l'alchimie du périple de la Création consiste à refaire la route vers l'Unité, à retrouver la vie céleste qui est la Vie dans son essence, dans le corps unique de Xrist. La Croix, c'est le sacrifice du corps adamique, c'est-à-dire de l'égo, de la dualité. L'ego doit mourir, c'est-à-dire s'effacer, pour que surgisse le corps de Résurrection, le corps qui triomphe de la mort, car il est uni à l'éternité de l'Unité. La Résurrection montre le moment précis, dans l'alchimie de la transformation, où, par le sacrifice du corps individuel, peut naître le Corps de Gloire. Il y a deux mille ans, le Corps de Résurrection participe un court instant au plan de l'humanité. Il s'offre aux yeux émerveillés de Maria de Magdala. Il prouve que la mort est vaincue. L'ego, l'individualité, la séparation, la multiplicité des formes ne sont qu'apparence, au même titre que ce bas-monde, pâle reflet du Miroir du Vrai Monde.
QUELQUES LIENS MERCI A PHILIPPE JEAN CHRISTIAN PIGOT :




  1. C'est de loin le plus gros mensonge des politiciens mais ... 

    www.youtube.com/watch?v=c5Fm46Q1stw

    15 févr. 2014 - Ajouté par Résistance
    C'est de loin le plus gros mensonge des politiciens mais personne n'en parle jamais. ... Si vous n'en avez toujours pas entendu parler, c'est normal; nos idées dérangent tellement que les médias n'osent pas nous présenter.

L'homme sur la lune en 1969, le plus gros mensonge de l'ère 

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5 févr. 2013 - Cela fait longtemps que je voulais écrire cet article mais j'avais toujours des ... Dans la vidéo (regardez la, pas besoin de parler anglais pour comprendre les ...Ensuite ça va plus loin (si si c'est possible), on reprend les bases de la .... Personneici n'est allé sur la lune, alors tous les arguments de tous les  .

etc. etc.....



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