mercredi 27 août 2014

Les livres perdus

 
La vie est comme un arc en ciel. Il faut de la pluie et du soleil pour en voir les couleurs.
Jules Renard
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                          Un bon sceptique DOUTE mais SANS A PRIORI
                                                         Observez 
      sans à priori et ne gardez que ce qui VOUS semble personnellement 
                                                    VRAISEMBLABLE 

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Le saut dans le vide



La rune blanche ! Atteindre la confiance en soi absolu !!!
Osez contre toutes raisons et sentir le papillon ouvrir ses ailes.



Le livre perdu du dieu Enki Mémoires et prophéties d'un dieu extraterrestre
Introduction. Il y a près de 445 000 ans, des astronautes venus d’une autre planète sont arrivés sur Terre à la recherche d’or. S’écrasant dans l’une des mers de la Terre, ils regagnèrent la rive à pied et fondèrent Eridu, la « Maison construite au lointain ». Le camp initial se développa rapidement pour devenir une véritable Mission Terre, avec un centre de contrôle, un Spatioport, des exploitations...
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  • Joelle Bare-lesven Préface. PASSÉ, FUTUR. « Quand reviendront-ils ? ». Combien de fois les lecteurs de mes livres m’ont-ils posé cette question ? D’innombrables… « Ils », ce sont les Anunnaki, ces extraterrestres venus sur Terre depuis leur planète Nibiru, et vénérés comme des dieux depuis l’Antiquité. Quand reviendront-ils ? Sera-ce lorsque Nibiru, au fil de son orbite allongée, reviendra dans le voisinage de notre planète ? Et dès lors, qu’adviendra-til ? Les ténèbres tueront-elles le jour, la Terre volera-telle en éclats ? Sera-ce la paix, sera-ce Armageddon ? Un millénaire de souffrances ou la seconde venue du Messie? L’événement aura-t-il lieu en 2012 ? Plus tard ? Jamais? Autant de questions fondamentales qui mêlent les plus grands espoirs et les plus grandes peurs aux croyances religieuses et aux espérances, sur fond d’événements du quotidien : les guerres sur des territoires qui virent la naissance des relations entre les dieux et les hommes ; les menaces d’holocaustes nucléaires ; les désastres naturels impitoyables qui s’annoncent. Ces questions, j’ai fait en sorte de ne pas y répondre tout au long de ces années. Désormais, les réponses à apporter ne peuvent – ne doivent – plus attendre. Les interrogations sur la parousie, soyons-en conscients, n’ont rien de nouveau. Elles ont été par le passé, et c’est encore le cas aujourd’hui, indissociablement liées à l’espérance teintée de crainte du jour du Seigneur, de la fin des temps, d’Armageddon. Il y a quatre mille ans, au Proche-Orient, l’on porta témoignage d’un dieu et de son fils porteurs des promesses du paradis sur terre. Il y a plus de trois mille ans, le roi et le peuple égyptiens se mirent à espérer les temps messianiques. Il y a deux mille ans, le peuple de Judée se demanda si le Messie s’en était venu. Et nous voilà dans la transe des mystères de ces événements. Les prophéties sont-elles en train de se réaliser ? Nous allons nous confronter aux questions irrésolues, éclairer d’anciennes énigmes, déchiffrer l’origine et la signification de symboles : la croix, les poissons, le calice. Nous décrirons le rôle tenu par des sites en connexion avec le cosmos au détour de hauts faits de l’histoire, et montrerons pourquoi passé, présent, futur mènent à Jérusalem, le carrefour du « lien entre le Ciel et la Terre ». Puis nous méditerons sur le pourquoi de la similitude qui relie le XXIe siècle de notre ère au XXIe siècle avant Jésus-Christ. L’histoire se répète-t-elle ? Est-il écrit qu’elle doive se répéter ? Une horloge messianique en fixe-t-elle le cours ? Le temps est-il venu? Voilà plus de deux mille ans que le Daniel de renommée vétérotestamentaire harcelait les anges par sa question : Quand ? Quand s’en viendra la fin des jours, la fin du système de choses ? À plus de trois siècles de nous, le bien connu Sir Isaac Newton, découvreur des secrets des mouvements célestes, composa des traités sur le livre de Daniel de l’Ancien Testament et sur le livre de l’Apocalypse du Nouveau Testament. L’on a récemment retrouvé ses calculs, tracés à la main, relatifs à la fin des temps : nous les analyserons. Et avec eux, de récentes prédictions eschatologiques1. La Bible hébraïque et le Nouveau Testament affirment tous deux que les secrets du futur se cachent dans le passé, que la finalité de la Terre est liée au Ciel, que les affaires et la destinée des hommes sont indissociables de Dieu et des dieux. À nous frotter à ce qui va advenir, nous remontons de l’histoire à la prédiction : impossible de comprendre l’une sans l’autre, nous rendrons compte des deux. Armés de cette résolution pour guide, examinons ce qui est de l’ordre du devenir à travers la loupe de ce qui fut. Une certitude : les réponses vont se révéler surprenantes. Zecharia Sitchin. New York, novembre 2006. ... <<(de téléchargement : Sitchin_Zecharia_-_La_fin_des_temps.zip>>)
  • Joelle Bare-lesven Quand les géants dominaient sur Terre Dieux, demi-dieux et ancêtres de l'homme : la preuve de notre ADN extraterrestre Introduction. En ces jours-là… Et il arriva lorsque les hommes commencèrent à se multiplier sur la face de la Terre et que des filles leur furent nées, que les fils de Dieu virent les filles des hommes, qu’elles étaient belles, et ils prirent des femmes d’entre toutes celles qu’ils choisirent. Il y avait des géants sur la terre en ces jours-là,et aussi après cela lorsque les fils de Dieu vinrent vers les filles des hommes, et elles leur enfantèrent des enfants ; ceux-ci devinrent des hommes puissants qui de tout temps étaient des gens de renom1. Le lecteur tant soit peu familier de la Bible en sa version anglaise du Roi Jacques reconnaîtra ces versets du livre 6 de la Genèse, prélude aux récits du Déluge, la grande montée des eaux au cours de laquelle Noé, confiné dans une arche, fut sauvé, avec mission de repeupler la terre. Ce même lecteur tant soit peu familier de mes écrits reconnaîtra aussi en ces versets la raison qui avait poussé cet élève, il y a bien des décennies, à demander à son professeur pourquoi l’on avait traduit le sujet de la phrase, Nephilim, par « géants ». Or, Nephilim est forgé sur la racine du verbe hébreu NaFol, s’effondrer, être jeté à bas, chuter : en aucun cas il ne fait allusion à « géants ». Ce jeune questionneur, c’était moi, bien sûr. Je m’attendais à des félicitations pour ma perspicacité linguistique. Je fus vertement remis à ma place. « Assis, Sitchin, siffla l’enseignant en contenant son irritation, on n’interroge pas la Bible ! » Je fus cruellement blessé, ce jour-là. Je n’interrogeais pas la Bible – tout au contraire, je manifestais mon besoin de la comprendre avec précision. Cet incident fit basculer ma vie. Je partis en quête des Nephilim. Qui furent-ils ? Qui furent leurs descendants « de renom » ? La recherche de réponses passa par un questionnement linguistique. Le texte hébreu ne fait pas mention d’« hommes » qui se multiplièrent, mais d’Ha’Adam – l’Adam –, terme générique, celui d’une espèce. Il ne parle pas de fils de « Dieu », mais emploie l’expression Bnei Ha-Elohim – les fils des Elohim, terme pluriel pour « dieux » mais dont la traduction littérale donne « Les Élevés » (ou les Nobles, les Imposants). Les « filles de l’espèce Adam » n’étaient pas « belles », elles étaient Tovoth, c’est-à-dire « bonnes pour… » au sens de « compatibles ». Inévitablement, nous voilà confrontés aux origines. Comment l’humanité advint-elle sur cette planète, et de qui provient le code génétique que nous portons ? En trois versets et quelques mots – exactement quarante-neuf dans la version hébraïque de la Genèse – la Bible décrit la création du Ciel et de la Terre, puis consigne la réalité de la préhistoire d’une humanité originelle, avec une série d’événements extraordinaires, dont un Déluge universel, la présence sur terre de dieux et de leurs fils, des mariages interespèces qui donnent naissance à des demi-dieux… C’est ainsi qu’en partant d’un mot (Nephilim), je finis par raconter l’histoire des Anunnaki, « Ceux qui du Ciel sur la Terre vinrent » – voyageurs de l’espace et colonisateurs interplanétaires venus depuis leur planète menacée jusque sur Terre en quête de l’or dont a besoin son écosystème, pour finir par façonner l’Adam à leur image. Je les ai ainsi fait revivre – j’ai reconnu chacun d’eux pour ce qu’il était, révélé leurs relations compliquées, décrit leurs travaux, leurs amours, leurs ambitions et leurs guerres – et identifié le fruit de leurs unions interespèces, les « demi-dieux ». On m’a parfois demandé où mes pistes de recherche auraient bien pu me conduire si le professeur, au lieu de me tancer, m’avait complimenté. C’est une tout autre question que je me suis posée : quelles seraient les conséquences de la réalité factuelle de cette affirmation, « Il y avait des géants sur la terre en ces jours-là, et aussi après cela » ? Les implications culturelles, scientifiques, religieuses en seraient terribles ; elles conduiraient forcément aux questions incontournables : pourquoi les compilateurs de la Bible hébraïque, totalement vouée au monothéisme, ont-ils inclus une telle « bombe », ces versets consacrés à la haute mémoire préhistorique ? – et leurs sources, dès lors, quelles furent-elles ? Je crois détenir la réponse. Parce que j’ai déchiffré l’énigme des demi-dieux (auxquels appartient Gilgamesh), je peux conclure dans ce livre-ci – le couronnement de mon oeuvre2 : la preuve physique incontestable de la présence extraterrestre dans le lointain passé a été ensevelie dans une très ancienne tombe sous la forme d’un récit. Ce qu’il implique de nos origines génétiques est immense : il est la clé des secrets du bien-être, de la longévité, de la vie, de la mort ; un mystère dont la levée va entraîner le lecteur dans une aventure à nulle autre pareille ; et au final, lui révéler ce qui demeura tu depuis Adam dans le jardin d’Éden. Zecharia Sitchin. ...<<(http://www.balderexlibris.com/index.php...>>)
  • Joelle Bare-lesven Le tout premier livre de Zecharia Sitchin, La 12e Planète, est paru en 1976 aux États-Unis. Il a rencontré immédiatement un prodigieux succès : pour la première fois, un spécialiste des récits mythologiques mésopotamiens, capable de vérifier les textes à la source, osait y voir davantage que le fruit d'un imaginaire débridé. Pour Sitchin, il était impossible que les scribes sur argile de ces épopées bibliques avant la lettre n'aient pas été inspirés par une forte tradition orale fondée sur... des événements réels. Dans les années qui suivent la publication de La 12e Planète, ce sont plus de vingt traductions de par le monde qui révèlent à un public fasciné cette autre vision de l'histoire de l'humanité. Celle que racontent, sans détour, les histoires des dieux et des hommes. Zecharia Sitchin, dès lors, se consacre entièrement à l' approfondissement de ses travaux et publie, en plus de trente années, pas moins de quinze ouvrages, tous élaborés autour de son idée forte : l'homme n'est pas le fruit d'une évolution « naturelle », de type darwinien. Non qu'il nie l'évolution. Simplement, suggèrent les mythologies de Sumer, cette évolution-ci fut pour le moins « génétiquement modifiée » par plus savant que nos modernes tripatouilleurs de gènes... Les livres de Zecharia Sitchin sont désormais diffusés à plusieurs millions d'exemplaires. De son vivant, le chercheur autodidacte a multiplié les conférences, les débats télévisés. II a même emmené de par le monde des groupes de lecteurs sur les grands sites du drame humain. Sitchin fut prophète en son pays. Et sa notoriété gagna - presque - le monde entier. Car curieusement, la France est restée longtemps le seul pays à ne pas traduire son œuvre. En 1988, un éditeur, au nom, hélas, prédestiné puisqu'il va disparaître presque immédiatement, Souffles, s'enthousiasme pour La 1 Z Planète et en assure la première traduction. Pendant plusieurs semaines, le titre reste sur la liste des meilleures ventes. Mais il faudra attendre plus de dix ans pour que Sitchin, et à échelle modeste, commence à devenir accessible à un public francophone2. Le livre que vous prenez en mains figure parmi les démonstrations dés du chercheur américain. En synthétisant l'essentiel des découvertes véhiculées dans La 12e Planète, il offre à un public nouveau de se familiariser avec l'essentiel de sa lecture des épopées sumériennes, tour en plongeant dans les découvertes scientifiques contemporaines qui corroborent une incroyable réalité. <<http://www.balderexlibris.com/index.php...>>)
  • Joelle Bare-lesven La douzième Planète La surprenante et véritable Première Chronique de la Terre ! Les chroniques de la Terre 1. Cette extraordinaire histoire, la nôtre depuis 500.000 ans, n'est pas de la science-fiction ! Aujourd'hui, elle révèle que des astronautes bien plus sophistiqués que les nôtres sont venus et revenus sur Terre et ont fait chaque fois brusquement évoluer l'humanité. Une vision de Nostradamus du passé ? Non, Zecharia Sitchin est l'un des rares spécialistes capables de lire et de comprendre l'écriture cunéiforme et, en se basant sur les archives sumériennes d'il y a 6.000 ans, il déclare en 1976 : « Il y a une planète de plus dans notre système solaire ! ». En 1982, le satellite IRAS signale la course vers la Terre d'un large astre « inconnu jusqu'alors »... En 1988, les ordinateurs de la NASA calculent que son orbite passe entre Mars et Jupiter, exactement comme l'auteur l'avait déduit des documents astronomiques les plus anciens de notre planète. Qui étaient ces dieux d'antan qui dans leurs vaisseaux sillonnaient le Ciel et la Terre ? Ils firent l'Eden et Adam, furent amoureux des filles des hommes, protégèrent Noé, interdirent l'achèvement de la « Tour » de Babel, et enrichirent l'humanité de leurs mathématiques, de leur agriculture, de leurs lois, de leur organisation sociale et religieuse, et de l'histoire de leur vaisseau spatial principal : « LA DOUZIÈME PLANÈTE ». ...<<(http://www.balderexlibris.com/index.php...>>)
  • Joelle Bare-lesven Cet ouvrage, qui fait suite à "La Douzième Planète", nous transporte dans un voyage extraordinaire dans le temps, aux confins du pays des pharaons, ces initiés qui enseignèrent comment parcourir la "route des dieux" jusqu'à l'après-vie éternelle, et do...Voir plus
  • Joelle Bare-lesven Dieu, Yahvé, l?Eternel, quel que soit le nom que les êtres humains lui donnent, est-il un extraterrestre ?
    La question n?a rien de blasphématoire : par essence, Dieu « ne vient pas de la Terre », il est donc, au sens premier du terme, extraterrestre. M
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  • Joelle Bare-lesven Les Sumériens, il y a 6 000 ans environ, ont transcrit sur tablettes d'argile des récits extraordinaires : ils content la création du système solaire avec la survenue d'une planète lointaine qui aurait modelé sa configuration actuelle. Mythologie ? Voi...Voir plus
  • Joelle Bare-lesven des livres du même auteur mais en Anglais.

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