dimanche 28 octobre 2012

Suite débat sur la survie de la Conscience


Débat sur la survie de la conscience

Jean-jacques Charbonier
Le Docteur Jean-Jacques Charbonnier
Cliquez ci-dessous pour aller sur sa page


Tu vas être content d'entendre JJ; surtout la deuxième confidence....♥
Débat sur facebook très intéressant sur la survie ou non de la conscience après la mort physique d'après les révélations de ceux qui sont allés aux frontières ( N.D.E ) ou expérience de mort imminente en français.



3 commentaires:

  1. Jean-Jacques Charbonier, selon Vanessa Charland-Verville et Steven Laureys, que vous connaissez certainement pour les avoir rencontré dans les symposiums sur les EMI, la définition de mort clinique (indépendamment de toutes fonctions neurologiques) correspond à une brève période d’inconscience causée par un apport sanguin insuffisant au cerveau dû à une mauvaise circulation sanguine, respiration ou les deux. Ce n'est pas l'EEG plat qui défini la mort clinique mais l'arrêt réversible de la ciculation sanguine et de la respiration. Même si un EEG plat se manifeste 10 à 20 secondes après l'arrêt cardiaque, le cerveau conserve une activité métabolique de base mesurable par PET-Scan. Le cerveau n'est donc pas mort, il n'y a pas à l'instant ou ce produit la réanimation une mort cérébrale. Dire que les sujets qui ont été réanimé revienne de la mort clinique induit une confusion chez les néophytes qui ne connaissent pas ces subtilités de langage. Cela sert évidemment votre discours d'affirmer qu'il reviennent de la mort.
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  2. «le fait que la conscience soit bien plus performante quand le cerveau ne fonctionne pas, ou en tout cas moins bien ( dans l hypothèse qu il fonctionne encore comme vous le suggérez avec un EEG plat ! ) montre bien que l intégralité de la conscience n est pas " fabriquée " par le cerveau. Vous êtes d'accord avec ça au moins?»
    Que la conscience soit bien plus performante quand le cerveau ne fonctionne pas n'est certainement pas un fait. Aucun scientifique sérieux ne s'hasarderait a affirmer une telle ineptie. Si un EEG plat montre bien une inactivité corticale environ 15s après un arrêt cardiaque, il ne montre pas une absence d'activité métabolique des structures plus profonde. Ce n'est pas le bon outil pour cela. Le véritable fait est que les différentes composantes de l'EMI se répartissent de part et d'autre de la zone d'inconscience induite par l'arrêt circulatoire et pulmonaire et que le cerveau recompose ensuite une histoire linéaire sans tenir compte de la période de black out.
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  3. N'étant pas spécialiste, je veux bien vous suivre dans votre hypothèse, mais voila un cas de retour d'un cas extrême que la science médicale ne peut expliquer puisque le corps était pratiquement détruit avant la N.D.E et qu'avec le retour de la conscience tous les organes se reconstruisent en quelques jours.
    Ce reportage a été publié sur mon blog : Partage Défi des 100 jours ou :
    Copier/coller ce lien pour visionner ce reportage
    Message : Un cas de N.D.E vraiment extraordinaire
    Lien : http://jloupartage.blogspot.com/2012/10/un-cas-de-nde-vraiment-extraordinaire.html
    Cordialement
    Jean-Loup

Emission avec le Père Brune du 24/10/2012



Rediffusion de l'émission du 24 octobre 2012 avec le Père François Brune
J’aime ·  ·  · Il y a 42 minutes, à proximité de Paris · 

jeudi 25 octobre 2012

Un cas de N.D.E vraiment extraordinaire


sous-titres en Francais par Veronique Y'A T'IL UNE VIE APRES LA VIE - ANITA MOORJANI - http://www.youtube.com/watch?v=gWf8V1PXN-k
J’aime ·  ·  · il y a 7 heures ·

Anita a été diagnostiqué avec un cancer terminal, et les médecins ont dit à sa famille qu'elle était à quelques heures de la mort. C'est à ce moment qu'elle a "traversé", puis est retourné dans ce monde avec une compréhension plus claire de sa vie et le but sur ​​la terre. Cette compréhension a ensuite conduit à une récupération totale de sa santé. 
Anita est née à Singapour de parents indiens, a déménagé à Hong Kong à l'âge de deux ans, et a vécu à Hong plupart de sa vie Kong. En raison de son expérience et de l'éducation britannique, elle est multilingue et, à partir de l'âge de deux ans, a grandi en parlant anglais, le cantonais et deux dialectes indiens en même temps, et par la suite appris le français à l'école. Elle avait travaillé dans le domaine de l'entreprise depuis de nombreuses années avant d'être diagnostiqué avec le cancer en Avril 2002. Son expérience fascinante et émouvante proche de la mort au début de 2006 a énormément changé son point de vue sur la vie. Son travail est désormais enracinée avec les profondeurs et les connaissances qu'elle a acquises alors que dans le domaine de l'autre. Elle fonctionne sur le principe que notre monde intérieur (la conscience) est notre réalité première, et si notre état ​​interne est saine et forte, alors notre monde extérieur va s'aligner et se mettre en place à la suite.Elle est l'incarnation de la vérité que nous avons tous la force intérieure et la sagesse pour surmonter les situations les plus défavorables, même de la vie, car elle est la preuve vivante de cette possibilité. - dehttp://anitamoorjani.com/?page_id=41 Pour regarder plus de mes interviews vidéo, visitez le site http :/ / www.JuicyLivingTour.com Faire un don pour soutenir le Tour Living Juicy http://juicylivingtour.com/support-the-juicy-tour/donate-now/ Restez à l'écoute sur le Tour Living Juicy et où il est en ce moment dans le monde à partir de la page fan facebook Lilou àhttp://facebook.com/liloumacewebtv COPYRIGHT © 2012 LILOU PRODUCTIONS, LLC








dimanche 21 octobre 2012

Se défendre des énergies négatives




28 septembre 


Comment se défendre vous-même des énergies négatives.....
Nous savons tous que les énergies négatives sont l'une des plus grandes préoccupations des êtres humains. Atteindre n'importe où sur la planète. Mais, nous nous défendions, commence à prendre une série de mesures et d'actions. Ci-dessous suit six conseils pour commencer à lutter contre eux. 
1. Ne pas craindre quelqu'un une des armes plus efficaces dans l'assujettissement d'un être est lui refiler la peur. Se sentir capable d'un dérangement interne profond, provoque des fuites réal lors aura, laissant la personne vulnérable à toutes les attaques à venir. Craignant une personne signifie placer dans la position, la peur signifie ne pas croire en vous-même et en votre potentiel ; la peur signifie l'absence de foi. Causes de la peur téléchargement notre champ vibratoire, deviennent alors vulnérables aux forces extérieures. Sensation de peur de quelqu'un est de donner un certificat qu'il est plus fort et plus puissant. Plus vous donnez la force à l'oppresseur, plus elle renforcera. 

2. Ne pas ressentir de culpabilité et la peur, la culpabilité est l'un des pires États d'esprit qui existent. Il modifie notre champ vibratoire, laissant notre aura (champ de force) vulnérables à l'agresseur. La faille affaiblit notre système immunitaire et ferme les voies vers la prospérité. Une des ressources plus utilisées par les envieux est de se sentir coupable pour nos réalisations. Ne pas faire le jeu et savoir que votre succès est mérité. Maintenez toujours vos victoires !

 3. Adopter une attitude ACTIVE n'adopte pas toujours une défensive posture est la meilleure affaire. Pour répondre à la situation. N'oubliez pas l'exemple du chien : qui a peur de l'animal et la vélocité, inévitablement seront poursuivis et mordu. Déjà qui assure calme et permet de contourner la situation peuvent sortir indemne. Au lieu de penser que quelqu'un peut l'influencer négativement, pourquoi ne pas avancer et il influence bénéfique ? Ou bien le mal, c'est plus fort que le vôtre aussi bien ? Pourquoi est-ce que nous avons toujours nous mettre dans une attitude passive des victimes ? Avant de l'atteindre avec leur méchanceté, parvenir à l'avance avec beaucoup de lumière et des pensées de paix, de compassion et d'amour. 

4. Il s'agit toujours de votre côté, la plus grande cause de problèmes de relations humaines est « Obsession ». L'influence négative d'une personne plutôt qu'un autre toujours existera aussi longtemps qu'il y a une idée de la domination, de l'inégalité humaine, tout en un en savoir plus et d'autres moins, alors que nos relations ne sont pas guidées par le respect mutuel. Mais de nombreux problèmes existent parce que nous ne concernent bien avec soi-même. « Self Obsession » n'aiment pas les moyens, ne pas se pencher, si autoboicotar, si ne pas pour dévaluer personnels répondent à vos besoins et donner force à l'autre, lui permettant d'influencer votre vie, trouve que d'autres méritent plus que nous faisons. Auto-obsediar-s et n'écoute pas la voix de notre âme, doit donner plus de valeur à l'opinion d'autrui. Ceux qui se livrent à cette fin de façon perdait son personnel force et ouvrent la porte à toutes sortes de gens maîtresses et du faible niveau énergétique. Force intérieure est notre plus grande défense. 

5. Monter à des postes élevés les flèches n'atteignent pas le ciel. Toujours vous mettre dans des positions avec les bonnes pensées, mots, actions et sentiments et mature.Une atmosphère de haut niveau pensées et sentiments rend les énergies maléfiques, qui sont petits dans la portée, n'atteint pas. C'est la meilleure façon de créer des "incompatibilid ade" avec les forces du mal. N'oubliez pas : ne pas mélanger les énergies incompatibles. 

6. A proximité de négatif influe sur les routes d'accès pour lequel influe sur le négatif peut venir dans notre domaine sont les portes qui mènent à nos âmes, autrement dit, l'esprit et le cœur. Gardez les deux toujours gardé les énergies des mauvaises pensées et sentiments et évasion conversations négatives, méchantes et déprimées. Éviter les messages denses, de bas niveau. Lorsque vous ne pouvez pas nous aider, restez loin des personnes qui ne sont pas ajouter quoi que ce soit et il suffit de tirer pour du côté incliné de la vie. Idem pour les lectures, émissions de télévision, films, musique et passe-temps de bas niveau..


samedi 20 octobre 2012

Puisque tu pars


Mon Pays me manques tellement...vous me manquez tant...nostalgie...


Cette chanson, m'a été dédiée, un jour de juin 1989 par tous mes Amis du Gabon car, le 8 juillet 1989, je quittais ce pays où je venais d'y vivre 10 ans...

Les années ont passé et aujourd'hui, je saisis pleinement les paroles de cette chanson...Enfin, je crois...

Malgré son air triste, "Puisque tu pars" est une chanson remplie d'Amitié, de Joie, d'Espoir, de Sacrifices par Amour...d'Amour...Elle montre aussi que l'Amour ne connait pas l'oubli...


"Puisqu'il n'est pas de montagne, au-delà des vents, plus haute que les marches de l'oubli"


"Et puisque tu penses, comme une intime évidence, que parfois même tout donner n'est pas forcément suffire" 


"Puisque c'est ailleurs qu'ira mieux battre ton cœur et puisque nous t'aimons trop pour te retenir" 

"Que les vents te mènent où d'autres âmes plus belles sauront t'aimer mieux que nous puisque l'on ne peut t'aimer plus"


"Que la vie t'apprenne mais que tu restes le même, si tu te trahissais, nous t'aurions tout à fait perdu"


"Garde cette chance, que nous t'envions en silence, cette force de penser que le plus beau reste à venir"


"Sache qu'ici reste de toi comme une empreinte indélébile"


"J'aurais pu fermer, oublier toutes ces portes
Tout quitter sur un simple geste, mais tu ne l'as pas fait
J'aurais pu donner tant d'amour et tant de force
Mais tout ce que je pouvais, ça n'était pas encore assez
Pas assez, pas assez, pas assez..."



Ne changez pas, restez tels que vous êtes...Pensez toujours que le plus beau reste à venir...Quelles que soient les difficultés dans la vie, ne fermez jamais la porte de votre coeur...N'hésitez jamais à donner autant d'Amour et de Force que vous pouvez car vous serez toujours récompensés !

Tout cela pour vous souhaiter à tous une Bonne et Heureuse Année 2012 remplie de mille et un Bienfaits.

Je vous embrasse fort, que les Anges veillent sur vous et que Dieu vous bénisse vous et vos proches. 

Je vous AIME •*¨*•♥ღ♥

ღ Kumari ღ

Archive sur 2012 publié le 4/12/2007


5 questions à Guillaume Musso


Guillaume Musso :
aux portes de la mort

En six ans, Guillaume Musso a vendu 7 millions de livres, il est l’un des auteurs les plus lus en France. Il a rencontré le succès avec Et après, paru en 2004, qui relate l’expérience de mort imminente, l’EMI, du jeune Nathan et les conséquences qu’elle eut sur sa vie.
Comment vous est venue l’idée d’utiliser le sujet des expériences de mort imminente pour ce roman Et après ?

Guillaume Musso : C’est venu après un accident de voiture que j’ai eu en l’an 2000 sur l’autoroute. J’étais en route pour aller voir ma fiancée qui faisait ses études à Nice. Moi-même je venais juste de commencer à enseigner à Montpellier. Je roulais un peu vite et j’ai eu cet accident. J’en suis sorti indemne, mais j’ai vraiment eu l’impression de frôler la mort. D’ailleurs, lorsque les remorqueurs ont vu l’état de la voiture, ils m’ont dit que j’avais eu vraiment beaucoup de chance.
Sur le coup, il ne s’est rien passé. Mais dans les jours et les semaines qui ont suivi, je me suis senti un peu différent. Je revivais l’accident sous forme de fl ashs, de souvenirs. C’est là que j’ai commencé à me documenter, à lire pas mal d’ouvrages, d’essais de personnes qui ont frôlé la mort, qui ont fait des EMI… J’ai lu tout Raymond Moody, Marie de Hennezel, Elisabeth Kubbler-Ross. J’ai constaté que le phénomène ne datait pas d’hier. Ce qui m’intéresse, c’est que les gens reviennent parfois de ces expériences en éprouvant le besoin de changer, de remettre de l’ordre dans leur vie, en tout cas de hiérarchiser leurs valeurs autrement. C’est un peu ce qui m’est arrivé à l’époque. Prenant conscience de la fragilité de la vie, je me suis dit : « Essaye de faire ce que tu veux vraiment, ne passe pas à côté de ta vie ». Or, ce que je voulais vraiment depuis longtemps, mon rêve, c’était d’écrire des romans… Et je me suis dit que ce serait bien de raconter une histoire qui aborde ce thème des EMI. J’ai commencé à jeter des idées sur le papier, et une histoire a pris forme, celle de ce garçon qui manque de se noyer dans un lac, et que la mort rejette, lui donnant une occasion de poursuivre sa vie.

Avez-vous eu d’autres sources d’inspiration ?

A la même époque, Sixième Sens de Night Shyamalan est sorti au cinéma. Je me suis dit que c’était quand même incroyable d’arriver à déplacer des millions de gens avec une histoire de fantômes. C’est aussi un film qui parle du deuil, de la mort. Et la fiction a cet avantage de pouvoir aborder des thèmes graves sous un angle, disons, divertissant. Dans l’édition, au premier abord, écrire sur la mort fait peur. Mais grâce à la fiction, et aussi au surnaturel, on arrive à présenter le sujet de façon attrayante. Et les gens acceptent alors d’aller vers ces oeuvres et de se confronter aux questions qu’elles soulèvent.
Romans ou films, la fiction en général est un vecteur puissant pour des thèmes vers lesquels on n’irait pas forcément parce qu’on les trouverait plombants, ou parce qu’on n’a pas envie d’y faire face.

Et ça a été difficile d’écrire sur la mort ?

Ça a été passionnant. Par rapport à l’accident, il y a vraiment un avant et un après. C’est d’ailleurs pour cette raison que c’est aussi le titre du livre. Avant, j’étais un homme insouciant et un béotien sur le sujet. Ensuite, pendant 3 ans, je me suis documenté, j’ai lu énormément, j’ai discuté avec des gens. Il y a eu cette prise de conscience de la fragilité de la vie. Et ça ne m’a plus lâché. Elle ne tient qu’à un fil. On croit toujours avoir le temps mais on sait quand ça commence, on ignore quand ça finit. C’est devenu finalement une matière première de mes romans. Dans Seras-tu là ?, par exemple, j’ai pris le prétexte du voyage dans le temps pour parler de la vieillesse et du temps qui passe… Dans Parce que je t’aime, j’utilise l’hypnose pour parler du deuil. Je reçois entre 10000 et 12000 courriers ou mails par an et je constate que j’ai beaucoup de lecteurs dans des professions médicales, infirmières, médecins. Je suis aussi beaucoup lu par les patients, et parmi eux, par des gens malades qui passent parfois de longs mois à l’hôpital. Ça m’a amené au thème de la résilience, de la possibilité de rebondir, de se reconstruire après un traumatisme.

Avez-vous vécu une EMI vous-même ?

Non, je n’ai pas vécu d’EMI. Mais avec l’accident, il y a eu un vrai choc, une prise de conscience très forte de la fragilité de la vie. C’est ce qui m’a fait écrire un roman, et m’a fait accorder davantage d’importance à certaines valeurs.

Qu’est-ce que le travail de documentation que vous avez fait pendant toutes ces années vous a appris ?

Ça a soulevé énormément de questions, en particulier sur la part du hasard et celle du destin… Au coeur de mes deux romans, Sauve-moi et Je reviens te chercher, il y a cette question : les événements nous arrivent-ils de façon chaotique, par hasard, de manière complètement imprévisible, ou bien existe-t-il un ordre des choses, une sorte de livre du destin ? En tant que romancier, je me sers de la question, je ne propose pas de réponse parce que je n’en ai pas moi-même. Et puis j’ai toujours été intéressé par l’aspect culturel des religions - architecture, musique… - Je ne suis pas croyant, mais je suis très ouvert.

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